TAKE THE DUCK_ cd-präsentation

Datum: Di, 26.10.2004
Veranstalter: Verein Innenhofkultur
Ort: cik@künstlerhaus.klagenfurt

foto:©JPuch

„TAKE THE DUCK“
ist ein internationales Jazz Quartett und wurde im Jahre 1998 von Toine Thys (B) am Altsaxophon und Daniel Nösig (A) an der Trompete gegründet. Die Rhythmusgruppe von „TAKE THE DUCK“ besteht aus Sal Larocca (B) am Kontrabaß und Thorsten Grau (D) am Schlagzeug.
Für die Tour im Oktober haben wir den amerikanischen Gitarristen Ben Monder als Sensationsgast.

Toine Thys (BEL)_sax
Thorsten Grau (GER)_drums
Uli Langthaler (A)_bass
Daniel Nösig (A)_tp
special guest: Ben Monder (USA)_git

Ben is unique voice in the New York area. For over 15 years, he has performed with a variety of artists, including Jack McDuff, Marc Johnson, Lee Konitz, Paul Motian, and Tim Berne. He has appeared on over 70 CDs as a sideman, and to date has released 3 CDs as a leader. His sound and playing fit so well with the music of the Quartet.
Don’t miss that one!

Mit dieser speziellen Besetzung (Saxophone, Trompete/Flügelhorn, Kontrabaß und Schlagzeug) hat das Quartett viele verschiedene Musikstile interpretiert und durch Eigenkompositionen zum eigenen Sound gefunden. Saxophon und Trompete ergänzen sich gegenseitig fast telepathisch und geben der kreativen Rhythmusgruppe genug Freiraum für Grooves und Ideen.

Die Musik von „TAKE THE DUCK“ schwebt irgendwo zwischen Ornette Coleman und Dave Douglas und ist auch von vielen modernen und zeitgenössischen Künstlern beeinflußt.
Ein Konzert von Take the Duck ist immer ein Abenteuer voller Überrachungen, Grooves und Farben, Swing und einer guten Portion Energie. Das Quartett konzertiert regelmäßig in Belgien, Holland, Österreich, Spanien und Deutschland. Der Auftritt beim Jazzfestival `Jazz al Parque´ in Bogota (Columbien) 2001 war ein großer Erfolg.

Ben spielte mit Jack McDuff, Marc Johnson, Lee Konitz, Paul Motian, und Tim Berne.
Er arbeitete mit dem Carnegie Hall Jazz Orchestra, dem Kenny Wheeler Large Ensemble und Guillermo Kleins Los Guachos zusammen und ist festes Mitglied im Maria Schneider Jazz Orchestra.

PRESSE

TAKE THE DUCK ENTAME SA MIGRATION: ENTRETIEN par ANDRÉ JOASSIN, in le Soir, september 02nd 2003
Le Belge Toine Thys et Take the duck ouvriront le festival « Mons en jazz » vendredi. Ce jeune quartet aux visées européennes a sorti son premier album.
Frère du contrebassiste Nicolas Thys, Toine embrasse lui aussi une carrière de jazzman. Après un cursus aux Pays-Bas, le saxophoniste bruxellois a fondé Take the duck avec le trompettiste autrichien Daniel Noesig. Ce quartet ouvrira Mons en jazz vendredi et prépare une tournée belge pour janvier.

Pourquoi avoir choisi une école aux Pays-Bas ?
Je voulais suivre les cours de l’Américain John Ruocco. Il a formé beaucoup de bons saxophonistes belges, mais, à l’époque, il n’enseignait pas en Belgique. Quinze jours après que j’aie aménagé en Hollande, il m’a appris qu’il allait donner cours à Bruxelles ! Mais je suis content d’être parti pendant six ans et d’avoir ouvert mes horizons. J’ai rencontré des musiciens de partout au Conservatoire de La Haye. Il y avait 40 % de Hollandais, les autres élèves étaient allemands, français, danois, belges, espagnols, italiens, japonais…

Un saxophoniste belge, un trompettiste autrichien, un contrebassiste français et un batteur allemand : un groupe aussi international pose-t-il des problèmes ?
Quand le groupe a démarré, nous étions tous en Hollande. Maintenant, le trompettiste vit à Vienne, le bassiste à Paris, le batteur à La Haye et moi en Belgique. Ce n’est pas facile. En tant que leaders, Daniel Noesig et moi cherchons des tournées susceptibles de faire bouger tout le monde. C’est un problème financier quand il faut faire voler tout le monde…

Take the duck joue un jazz acoustique plutôt que de la fusion ou du techno-jazz.
On n’a pas dit notre dernier mot à ce sujet. Mais c’est effectivement un projet purement jazz.
Au départ, avec Daniel, on a découvert qu’on aimait jouer ensemble, qu’on pouvait faire du contrepoint intuitivement et que nos sons se mariaient assez bien. Donc, on est resté très acoustique. Mais, comme beaucoup de souffleurs par ici, je joue aussi avec des effets électriques. Si on m’appelle pour jouer avec un DJ dans une discothèque, j’amène mes « trucs ». Mais on a décidé de faire un groupe dans une formule à la Ornette Coleman (NDLR : saxophone, trompette, basse, batterie).

Il y a eu aussi le quartet de Chet Baker et Gerry Mulligan qui ne comportait pas d’instruments dits harmoniques…
On nous cite souvent celui-là, qui, je crois, a été le premier dans cette formule. Mais il y a eu aussi « Old and new dreams » et le quartet de Dave Douglas avec Chris Potter qui m’a beaucoup influencé pour les compositions. Cette formule est géniale pour un soliste. Avoir dans les pattes un pianiste qui n’est pas sur la même longueur d’onde que vous est problématique. On a une idée, et puis lui joue avant vous un accord complètement différent qui vous coupe l’herbe sous le pied ! L’avantage avec Take the duck, c’est que le bassiste Eric Surmenian a vraiment de grandes oreilles harmoniques. C’est un garçon super talentueux. Il a fait le cursus de six ans à Hilversum en un an et a terminé avec 10 +. Il est parfois autoritaire, en indiquant des directions très souvent heureuses. Parfois aussi, il sent que nous allons ailleurs et il nous suit instantanément. C’est très important pour le groupe.

Comme beaucoup de jeunes jazzmen belges, vous avez créé votre label pour sortir l’album.
Nous l’avons créé en Hollande, surtout pour apprendre le métier, et nous avons trouvé une distribution via l’Autriche. Notre prochain CD, on le sortira sous un label allemand. On profite de tous nos contacts pour évaluer le meilleur deal.

A présent, allez-vous développer votre activité en Belgique ?
Je garde un pied en Hollande tout en essayant d’ouvrir une porte en Belgique et une autre à Paris. Je trouve que la Belgique est assez fermée. On n’y voit pas assez de musiciens français et hollandais. Et on ne voit pas assez de musiciens belges en Hollande et en France. Mais on peut faire bouger les choses.

Mons en Jazz 2003
Compte-rendu de festival by Mwanji Ezana, september 2003, Mons
Le quartet Take the duck ouvre le festival dans un style plutôt cool. Le leader et saxophoniste alto et soprano Toine Thys s’exprime avec une grande réserve, restant généralement dans un registre et une dynamique médiums. Le trompettiste autrichien Daniel Nösig continue cette esthétique, mais construit ses solos avec un souci de la forme, une logique et une discipline implacables et transparents. Chaque motif créé est développé d’une manière posée qui ne cesse d’intriguer. La première moitié du concert ressemble à une version contemporaine, plus abstraite, des quartets sans piano de Gerry Mulligan, mais progressivement l’atmosphère se réchauffe, pour finir avec des rythmes vaguement latins et un jeu plus blues et extraverti de la part des solistes.
Les compositions jouent plus sur les atmosphères que sur les mélodies, /…/. L’introduction à l’archet du bassiste français Eric Surmenian sur un morceau sans improvisation est un des plus beaux moments du concert, où mélodie forte et climat sombre cohabitent à merveille.

TAKE THE DUCK “RESOLUTION” *** CD critic in FOCUS KNACK 18-24 december 2002, Belgium, by Bart Cornand.
Het Belgisch-Nederlands-Oostenrijks-Franse kwartet Take the Duck werd in 1998 opgericht door altsaxofonist Toine Thys en trompettist Daniel Nösig. /…/ Hun concerten op het North sea Jazz festival en tijdens de jongste JazzLab Series waren veelbelovend, en hun eersteling, Resolution, lost de verwachtingen ruim in.
Take the Duck werkt zonder harmonisch ondersteund instrument, maar dat voelt nooit als een gemis aan. Precies de wijdse ruimte maakt deze plaat zo helder. De samenwerking tussen Thys en Nösig is dan ook uitstekend. Een rolverdeling tussen een leider en een aangever laten ze over aan komische duo’s: in hun wereld zijn sax en trompet gelijkwaardig.
Het begint meteen goed met The First Cowboy Song, een verpletterende, eenvoudige compositie. Nösig, ook bekend van het gehypete New Cool Colective en een product van John Ruocco’s jazzopleiding, weet de clichés uitstekend te vermijden. Ballad #2 biedt emotionerend arcowerk van de Franse bassist Eric Surmenian, die de jongste jaren is uitgegroeid tot een van de toonaagevende bassisten van Europa. Het titelnummer is instant kippenvel. Een debuut zegt u? Droegen we een hoed, we deden hem terstond af.

TAKE THE DUCK „Resolution“ * * * *, in STAGE, December 2002, by Jempi Samyn
En dit is Nic Thys’s broer, altist-sopranist Toine Thys, met het kwartet dat hij 4 jaar geleden oprichtte met zijn toenmalige medestudent in het Haagse Conservatorium, trompettist-bugelist Daniel Nösig uit Oostenrijk. Aan hun zijde vinden wij contrabassist Eric Surmenian uit Frankrijk en drummer Thorsten Grau uit Duitsland terug. Onder de naam Take The Duck brengen zij composities van Thys en Nösig, die zich voornamelijk situeren in het onstuimige postbopuniversum met een licht freejazz-tintje in de solo‚s, waarbij de schrille, nu eens afzonderlijk, dan weer tweestemmig samengespeelde tonen van altsax en trompet centraal staan. Opvallend is de afwezigheid van piano, gitaar of enig ander harmonisch instrument, waardoor de sfeer van wijdse vlakten wordt opgeroepen.
In een aantal nummers wordt Eric Surmenian beurtelings afgewisseld door Eric van der Westen en Nic Thys.

TAKE THE DUCK “RESOLUTION” ***** CD critic in CONCERTO, December 2002, Austria
Es swingt und saxophont, es groovt und flügelhornt, es bebopt, schlagzeugt und (b) basst, daß es eine wahre Hörfreude ist. Die internationale Truppe, wurde 1998 von Toine Thys, Altsaxophon aus Belgien und Daniel Nösig, Trompete aus Österreich gegründet. Am Kontrabass ist Eric Surmenian aus Frankreich und am Schlagzeug Thorsten Grau aus Deutschland zu hören. Kongenial unterstützt werden die vier auf vorliegender CD von zwei weiteren Bassisten: Eric van der Westen und Nic Thys. Ausnahmslos Eigenkompositionen finden sich auf „Resolution“ und auch wenn auf der Homepage zu lesen ist, die Musik von Take the Duck schwebe irgendwo zwischen Ornette Coleman und klassischer Kammermusik, zwischen Gospel und Swing, eine große Bitte an die weite Welt da draußen: Nicht lesen – hören! Verzichten Sie aufs obligate Gansl, schonen Sie Ihren Magen, nehmen Sie die Ente und erfreuen Sie Ihren Gehörgang!

TAKE THE DUCK “RESOLUTION” **** CD critic in JAZZZEIT, December 2002, Austria
Daniel Nösig tp/flh, Toine Thys sax, Eric Surmenian b und Thorsten Grau dr, sind Take the Duck. Special guests sind die Bassisten Eric van der Westen und Nic Thys. Diese österreichisch-belgisch-französisch-deutsche Co-Produktion macht Jazz im Outfit der sechziger Jahre. Dabei bedient man sich aber nicht der üblichen Titel aus jener Zeit sondern schafft es mit Eigenkompositionen nahe an den Sound von Coleman, Cherry oder McLean heranzukommen. Trotz dieser Nähe zu Vorbildern, erzeugen Take the Duck 55 Minuten Kurzweil mit guten Soli und sehr gut aufeinander abgestimmten Unisonoläufen des Trompeters und Saxophonisten. Die verschiedenen Bassisten fügen sich folgerichtig in die jeweilige Spielweise und Themengestaltung ein, ebenso der Schlagzeuger Thorsten Grau, der entgegen seinem Nachnamen, viel Farbe in das kollektive Spiel bringt. Alles in allem eine wunderbare CD für Jazz Fans jeden Alters, die engagierte Musik im Stile der 60er kennen und liebengelert haben.

Maja Schlatte, Die Brücke
Mit „Take the Duck“ ist es wie mit einem jungen Designerlabel in der Modebranche: Das nimmt alles, was die Tradition an Tauglichem bietet, schüttelt kräftig durch, kennt keine Berührungsängste und schafft in ungewohnter Konstellation immer wieder Neues, Überraschendes und Unerwartetes.

Bert Jansma, Haagse Courant
„Daniel Nösig is a solist with a splendid tone and a balanced and harmonius manners of improvising“.

From Marta Beltrán, in ‚El Tiempo‘, 22-09-01, Bogota, Colombia
„Este cuarteto, holandés a pesar de estar conformado por un francés, un aleman, un autríaco y un belga, será el invitado internacional a la sexta version de Jazz al Parque, que se realizará hoy en mañana en el parque El Renacimiento“ /…/
„No hay ni piano, ni guitarra. En este grupo son los vientos -la trompeta y el saxofón- los que definen la armonía con el bajo. Tenemos un sonido especial, repleto de libertades y de canciones originales con influencia del jazz tradicional, de la musica country and western, y de la India“…

From Dick de Graaf, Ab Baars, Hein van de gein, Koen Schouten,…,
in Juryrapport semi-finale DutchJazzCompetition, 2002
„/…/ Toine Thys is een lekkere altist, ergens tussen Jackie Mc Lean en Kenny garrett. Er is een subtiele interactie tussen beide blazers. Ook mooie solo’s, zowel individueel als collectief, ondersteund door een prachtige stuwende drummer. /…/

From the Jury of the semi finale Dutch Jazz Competition 2002 (o.a. Sander
Grande, Koen Schouten, Hein van der Gein en Ab Baa).
Take The Duck improviseert met twee blazers, maar zónder pianist. Hun
composities bestaan uit meerstemmige melodieën met een dwingende groove.
Tijdens de semifinales roemde de jury de combinatie van saxofoon en trompet.
Spelend in de trant van free-jazzpionier Ornette Coleman, of -dichter bij
huis: Eric Boeren- laten deze jongens zien, dat ook de moderne jazz
inmiddels zijn eigen tradities kent. Typisch eigen aan deze jonge groep is
hun frisse, open sound. Ieder bandlid neemt (én krijgt!) de ruimte om te
improviseren, zonder dat de muziek ontaardt in hol getetter. In Take The
Duck speelt trompettist Daniel Nösig, die in 2000 al eens de solistenprijs
van de Dutch Jazz Competition in de wacht sleepte. Een trend in de nieuwste
Nederlandse geïmproviseerde muziek, lijken de compleet internationale
bezetting van jonge groepen als Take The Duck. Naast Daniël Nösig
(Oostenrijk) spelen: Toine Thys (België): sax, Gulli Gudmundsson (IJsland):
contrabas en Thorsten Grau (Duitsland), drums.

TAKE THE DUCK “RESOLUTION”, JazzNotes, Mars 2003, France
Ce groupe est composé du saxophoniste belge Toine Thys, du trompetiste Daniel Nösig (autrichien), Thorsten Grau (batteur allemand), Eric Surmenian (cb, France) en invités suivant les plages, les contrebassistes: Eric Van Der Westen (hollandais) et Nicolas Thys (belge) Djando d’Or 2001. Ce sympathique ensemble, déliver une musique d’influences multiples, mais qui possède une énergie er un swing très présents. Íl navigue dans un univers moderne, mais à la fois mélodique oû chacun prend sa part de risques, en l’utilisant intelligemment avec en prime une improvisation qui se veut soignée. Du Jazz actuel,mais sans prise de tête et qui résolument ne veut pas se figer.

TAKE THE DUCK “RESOLUTION”, * * ( * ) JazzMozaik, March-may 2003, Sim Simons, Belgium
De groep van de broer van Nic, Toine Thys – hier vooral op altsaxofoon, steunt voor een groot deel op drie wisselende bassisten, de vaste Eric Surmenian, Eric van der Westen en Nic Thys. De laatste twee imponeren respectivelijk in twee composities van Toine zelf: “Buzz” en “First Cowboy Song”. Drummer Thorsten Grau is heel musicale en trompetist/bugelspeler Daniel Nösig voegt extra kleur aan het palet toe.
Toine Thys, die bijwijlen een boeiend improvisator is, schreef zes van de negen stukken, Daniel Nösig de rest. Misschien is voor deze debuut-CD te veel van het goede. Niettegenstaande een leuk funky figuurtje in “Anaconda”, waar de sopraansax enige afwisseling brengt en enkele knappe solo’s van Nösig, verslapt aandacht gaandeweg. Een fade-out brengt redding.

TAKE THE DUCK “RESOLUTION”, * * Cuadernos de Jazz, May-June 2003, J.C. Abelenda, Spain.
Take the Duck es un cuarteto fundado en 1998 por Daniel Nösig y Toine Thys. La concepcíon del grupo resulta curiosa al basarse en una trompeta y un saxo, como voces principales, y una rítmica a cargo de basso y batería; incluyendo como invitados para esta grabacíon a dos bajistas.
En la música de Take the Duck se observa el pr

Termine

am Fr, 27.12.2024 um 18:00

2DAYS | Film-Premiere | Villa For Forest

Villa For Forest, Viktringer Ring 21, 9020 Klagenfurt Wir versuchen oft, der Welt, die wir geschaffen haben, zu entkommen, doch was, wenn wir uns eines Tages wirklich verlieren? Können wir jemals wieder zurückfinden?

We often try to escape the word we created, but what if we truly forget yourself in it? Will we able to come back?

Der Film 2DAYS von Manoa Mersich und Manuela Pernusch wurde lokal in Kärnten mit einem Team aus jungen KünstlerInnen, DesignerInnen, MusikerInnen und Filmbegeisterten im Jahr 2024 produziert.

Mit Joanna Panser in der Hauptrolle verfolgt der Film ein Mädchen, das plötzlich alles und zwei Tage vergisst. Auf der Suche nach Antworten und sich selbst trifft es neue sowie alte Gesichter. Dieser Kurzfilm befasst sich mit jungen Menschen, dem Überfluss an Dingen in unserer Welt, und ob man in einem Leben alles erfahren kann.

Wir freuen uns dieses Jahr in Kooperation mit Innenhofkultur und IWA-Kollektiv unsere Kurzfilm zu präsentieren! Mit einer Laufzeit von 35 Minuten zeigen wir den Kurzfilm 2 mal, dazwischen gibt es Raum für Getränke, Gespräche und einen Blick auf die derzeitige OLTA ZACH 2.0 Ausstellung!

TIMETABLE / ABLAUF
18.00 Einlass
18.30 Vorschau 1 (Deutsch)
19.30 Vorschau 2 (mit ENG Untertitel)

Eintritt: 5€

Bis dann, wir freuen uns auf euch !